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Lois et règlements

Faits et chiffres
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Les lois et les ordonnances relatives à la protection des animaux doivent en principe servir à la protection et au bien-être des animaux et réglementer le comportement de l’homme vis-à-vis de l’animal. Elles contiennent des exigences minimales sur des sujets tels que la détention, le transport, la mise à mort et indiquent la limite de la cruauté envers les animaux. Les prescriptions contenues dans les lois n’indiquent pas ce qui est conforme aux besoins de l’espèce. En conséquence, la loi autorise de nombreuses choses qui, aux yeux des amis des animaux, sont déjà cruelles pour eux. Il est souvent incompréhensible pour un profane de comprendre pourquoi, dans de nombreux cas, un service vétérinaire n’intervient pas depuis longtemps. Mais les autorités sont tenues de respecter les lois.

La Suisse n’a pas non plus de loi vraiment respectueuse des animaux

L’ordonnance sur la protection des animaux a certes apporté quelques améliorations, mais il n’y a pas eu de grands progrès par rapport à l’ancienne loi. Néanmoins, pour de nombreux animaux domestiques, on trouve des règles de détention qui n’existaient pas auparavant. Les chevaux, les chèvres, les moutons et les poissons sont pour la première fois explicitement mentionnés. Jusqu’à présent, ces animaux n’étaient soumis qu’aux dispositions générales, ce qui rendait l’application difficile. En revanche, la nouvelle ordonnance n’apporte pas de réelles améliorations pour les animaux de rente et les animaux sauvages.

Faire passer des changements de loi est difficile, mais pas impossible. Et ceux qui veulent protéger les animaux feraient bien de connaître les lois.

La protection animale coûte de l’argent. Votre don nous permet d’être auprès des animaux.